Gran Turismo 5

Tests Playstation 3 : Gran Turismo 5

Il est enfin là ! Parfois annoncé tel le messie des simulations de conduite Gran Turismo 5 pointe enfin le bout de son nez. Comme souvent avec tout produit très attendu, le jeu fait quelques déçus. Doit-on crier au génie ou à l’escroquerie ? Nous allons tenter de répondre.


Présentation objective du contenu et des fonctionnalités.

Commençons par être précis : tout ce qui va être dit ici concerne le jeu en version 1.01.


Les voitures:

Gran Turismo 5 propose plus de 1000 voitures. Le chiffre brut impressionne, il est doublé par rapport à GT4 et est également deux fois supérieur à ce que propose un Forza Motorsport 3 sur la console d’en face. Pour autant, la sélection de véhicules reste très orientée voitures japonaises. De ce point de vue, le jeu est plus que complet: Si vous aviez une Skyline en 1997, elle est surement dans le jeu. En revanche, le panel dé4oit sur les voitures occidentales, que ce soit pour les voitures de série ou les voitures de course: Pour ne donner que quelques exemples, n’espérez pas trouver la nouvelle Renault Mégane, la VW Sirocco ou les super exotiques comme la Gumper Apollo.

La série Gran Turismo a néanmoins fait de beaux progrès depuis Gran Turismo 4 avec l’arrivée des Ferrari ou des Lamborghini par exemple.


Le jeu accueille également plusieurs nouveaux types de véhicule:

Ferrari F1 (déjà présente dans Prologue)
Red Bull X1 (Proto ultime)
Des voitures de Nascar
Un Kart !

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Les voitures sont de deux types standard et premiums:

Les voitures standard ont été modélisées dans le jeu sur base des relevés effectués par Polyphony à l’époque GT4 ou GT PSP.
Les voitures premiums sont modélisées dans le jeu à partir de relevés effectués en prenant en compte les capacités de la PS3 et le nombre de polygone capable d’être affichés par la console.

Les voitures standard ne bénéficient pas de vue intérieur et ne peuvent pas subir de dégâts visuels importants (par choc qui s’affaisse par exemple). Ces points ont beaucoup fait parler et c’est toujours le cas aujourd’hui… Disons que si vous jouez en vue « compteurs » et n’êtes pas fan des dégâts, vous vous moquerez de ces différences. Si vous appréciez de jouer en vue intérieur et que vous accordez de l’importance à la façon dont les dégâts sont gérés, votre perception sera toute autre.

D’un point de vue esthétique, la différence de finesse de la modélisation entre les deux types de véhicule est importante. Lorsque vous voyez les voitures standard en gros plan lors de la sélection des véhicules avant une course, il faut bien reconnaître qu’on est loin d’être éblouis.

les circuits:

La liste définitive des circuits est maintenant connu: elle allie reprise de circuits de GT4, confirmation des nouveautés de GT5 Prologue et vrais nouveautés:

Les circuits issus de Gran Turismo 4:
Tsukuba
Suzuka
Nurburgring Norschleiffe
Fuji
Le Mans 2005
Côte d’Azur
Deep Forest
Trial Mountain
Gran Valley
Autumn Ring (Normal et mini)
High Speed Ring
Special Stage route 5 (et sa version courte Clubman Stage)

Les nouveaux circuits de GT5 Prologue ( + démo GT Academy 2009)
Indianapolis (Speedway + Infield)
Daytona (Speedway + Infield)
Londres

Les Nouveautés de GT5
Le Mans 2009 (qui n’est pas une vraie nouveauté)
Nurburgring, circuit de Grand Prix (+ circuit des 24H du Nurburgring)
Monza
Cape Ring (plusieurs versions)
Madrid
Rome
Special Stage Route 7
Eiger (Rally, plusieurs versions)
Toscana (Rally)
Chamonix (Neige, plusieurs versions)

Le choix de circuit est vaste. Les nouveaux environnements sont franchement réussis et les circuits repris de versions précédentes font partie des plus intéressants. Pourtant, cette liste de circuits a provoqué chez les fans une certaine déception. Il y a trois raisons principales:

  1. Il semblait acquis pour la communauté que la quasi-totalité des circuits de GT4 feraient leur retour de GT5… et ce n’est pas le cas: les « oublié » sont nombreux (Midfield raceway, Apricot hill, El Capitan, Motegi, Hong-Kong, New-York, Seoul, etc. la liste est longue)
  2. Il y a eu énormément de rumeurs quant à la présence de circuits réels prestigieux: Spa ou Silverstone par exemple. Ce ne fut pas le cas non plus.
  3. On peut s’étonner d’avoir vu Polyphony autant communiquer sur la licence Nascar pour finalement ne proposer que deux speedways ! De la même façon, intégrer du karting sans circuit spécifiques est un choix tout aussi étrange.

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Il faut ajouter à cette liste 7 environnements « Track Maker ». Ce nouveau mode permet de générer des tracés dans un environnement donné en indiquant à la console les caractéristiques principales que l’on veut donner au circuit. ce n’est pas un éditeur de circuit à proprement parler mais cela enrichit tout de même le nombre de courses disponibles. Nous reparlerons de ceci plus tard.

Au final, si on juge, la liste sur ce qu’elle ait dans l’absolu et non sur ce qu’on aurait voulu qu’elle soit, il faut bien reconnaître un très bon équilibre et une variété bien ajustée.
En termes de modélisation, on constate néanmoins des écarts entre les circuits et parfois même entre les portions d’un même circuit. Gran Turismo 5 manque d’homogénéité: c’est vrai pour les circuits comme ça l’était pour les voitures.

Les grandes nouveautés: La pluie et le cycle jour/nuit
Enfin ! Enfin, un jeu typé grand Tourisme sur console gère le cycle jour/nuit et la météo dynamique. Nous disons bien météo 100% dynamique car après plusieurs tests, on peut bien passer de conditions pluie à une piste sèche et inversement.
Le cycle jour/nuit apporte une surplus de réalisme aux courses d’endurance et un gros surplus de fun mais en terme d’enrichissement de l’expérience de jeu, c’est surtout la météo qui creuse un fossé par rapport aux jeux qui ne proposent pas cette fonctionnalité.

En effet, la pluie dynamique, couplée à la gestion d’un large choix de pneumatiques ainsi qu’à leur usure rend les courses sessions sous ces conditions absolument palpitantes !
Imaginez un peu: la pluie c’est arrêtée, la piste commence à sécher et vous êtes en pneus intermédiaire. Un concurrent est passé au stand mettre les pneus slicks: il est largement le plus vite aux stands: Que faites-vous ? Est-ce que vous allez aux stands mettre les pneus slicks au risque de tout perdre si la pluie revient ? Ou est-ce que vous gardez vos intermédiaires en sachant que vous perdez plusieurs secondes au tour ?
Les courses prennent une nouvelle dimension.

… mais encore une fois, le manque d’homogénéité de ce Gran Turismo 5 frappe: cycle jour/nuit et météo ne sont disponibles que sur quelques circuits:
Le Mans 2009 (météo et jour/nuit)
Nurbrugring 24H (pluie et jour/nuit)
Nurburgring Nordschleiffe (météo)
Monza (Météo)
Suzuka (Météo)
High Speed Ring (météo)
Special Stage route 7 (météo)
Toscana (rallye – Jour/nuit)
Chamonix (rallye – météo)

Ces nouvelles fonctionnalités sont victimes de leur succès: c’est tellement bien qu’on les voudrait sur tous les circuits !
Le cas le plus incompréhensible est celui du circuit de Grand Prix du Nurburgring qui ne gère ni la météo ni le cycle jour/nuit alors que ceci est géré sur les circuits d’Endurance du Nurburgring qui emprunte une partie du tracé de Grand Prix ! Il faut bien avouer que dans ce cas précis, on a bien du mal à comprendre Polyphony.

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Les dégâts
Pour la première fois, les dégâts font leur apparition: jusqu’ici (patch 1.01), les dégâts ne sont que visuels. Les dégâts mécaniques arriveront plus tard via un patch.
Les dégâts (ailes, portières endommagées, etc.) ne sont visibles que sur les voitures premiums. Notez également qu’ils ne seront activés qu’à partir d’un certain niveau dans la carrière. ne vous étonnées donc pas de ne jouer qu’avec des véhicules indestructibles dans vos premières heures de jeu.

Le Track maker
Grande nouveauté de ce Gran Turismo 5 : Le Track Maker. Cette nouvelle option est un générateur de circuit et non un créateur de tracés, et cela fait toute la différence. Avec ce générateur, vous aurez la possibilité de créer vos propres tracés dans sept environnements prédéfinis. Pour que ce soit simple, j’ai décidé de vous faire une petite vidéo que voici.

Le mode carrière
Le mode carrière  est très proche de ce qu’on a pu connaître avec GT4:
Des permis
Des épreuves spéciales
Des épreuves qui deviennent disponible au file de la progression
Du A-Spec (vous pilotez)
Du B-Spec (vous gérez une écurie de pilote)
Un concessionnaire pour acheter des voitures neuves, un autre pour acheter des voitures d’occasion, un magasin d’upgrade pour améliorer vos montures et enfin le GT auto, pour peindre les voitures, changer les jantes, faire la vidange, etc.

Le jeu intègre une notion de niveau mais cela n’apporte finalement que peu de choses au déroulement de la carrière. Polyphony est cohérent avec ces titres précédents: la carrière est longue, riche en épreuves et parfois difficile.
La carrière est très imbriquée avec le mode en ligne, ce qui veut dire qu’il vous faudra y passer beaucoup de temps même si vous êtes principalement intéressé par le mode en ligne. Les voitures, les circuits, les crédits: tout se débloque via la carrière solo… et pas très vite. Il faut bien l’avouer, il y a ici un certain « archaïsme ». En 5 ans, les choses ont bien changé et ce qui était de bon goût à l’époque de Gran Turismo 4, ne l’est plus forcément aujourd’hui. Ajoutons à ceci que pour l’instant, les courses en ligne ne font rien gagner, ni niveau, ni crédits, ni voitures; on a ici un véritable problème d’équilibrage.

Il faudra passer des dizaines d’heure dans la carrière pour pouvoir jouer en ligne avec les voitures et circuits que vous vous voulez. L’équilibre n’est  pas bon: on peut demander aux joueurs de devoir passer 10 à 15 heures en solo pour débloquer ce qu’il faut pour le jeu en ligne mais plus, c’est inadapté pour beaucoup de joueurs qui attendent une simulation comme Gran Turismo 5 principalement pour son multi-joueur.

A côté de ceci, la carrière propose des épreuves variées qui vous feront utiliser une large gamme de voitures et tous les circuits du jeu. La balade est plaisante. Le challenge est bien présent avec les permis et les défis qui donneront du fil à retordre pour être obtenus en OR, même pour les habitués des jeux de voitures.

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Le plus important: les sensations de pilotage
Vous l’avez compris en lisant le début de ce dossier: s’il répond à une partie des attentes placées en lui, ce Gran Turismo 5 peut parfois également décevoir. Pour une simulation de conduite. Ce qui fait tomber un jeu du côté obscur ou au contraire le ramène dans la lumière, ce sont les sensations de pilotage: qu’en est-il ?

Pas de suspens ici, Gran Turismo réponds présent sur le feeling pad ou volant en main. la conduite est typée « Gran Turismo ». Par-là, j’entends que les voitures ont tendance à pivoter autour de la courbe avec un train avant très accrocheur. Pour autant si on reconnait tout de suite qu’on joue à un « GT », il y a une évolution dans le traitement des différents styles de véhicules.
Par exemple, la conduite des voitures de série est bien plaisante et technique que dans les opus précédents. Le freinage est également plus réaliste.

Autre bon point, la sensation de vitesse, point faible de la série depuis ses débuts n’est ici bien présente.

Les différences selon le type de pneus utilisés ainsi que leur état d’usure ou de température sont bien présentes. de ce point de vue Gran Turismo est très au-dessus de la concurrence.

En revanche, et c’est une première pour la série Gran Turismo depuis longtemps: le jeu n’est pas irréprochable techniquement. On note des chutes de framerate, l’aliasing est présent plus que dans d’autres titres et les distances d’affichage sont parfois un peu justes.

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Le jeu en ligne
La partie online du jeu est pour le moment assez simple mais va s’améliorer dans les semaines à venir. Pour commencer, le menu communauté dispose de quelques options intéressantes : Vous pourrez envoyer des messages à vos amis, voir ce qu’ils font dans le jeu avec leur historique ou encore leur envoyer des cadeaux comme des voitures, peintures et des carte de musée. Mais la partie la plus intéressante est bien sûr le multijoueur. Je vais faire simple et je vais vous énumérer les possibilités  de ce mode :
Jusqu’à 16 joueurs en ligne.
Possibilité de faire des parties publiques ou privées.
Possibilité de choisir tous les circuits du jeu.
Changer la progression temporelle (jour/nuit) et la météo.
Faire des essais libres avant la course et des sortes de qualifications.
Faire jusqu’à 200 tours de piste.
Régler le réalisme du jeu.
Régler des restrictions de véhicule : Par exemple mettre que des Formule 1, des karts ou une voiture unique pour tout le monde. Vous pourrez aussi limiter la puissance et le poids des voitures que choisiront les joueurs ainsi que les pneus.
Possibilité d’activer ou non les aides à la conduite.

Il faut tout de même signaler quelques points négatif pour le mode online : Pour le moment, les courses online, qu’elles soient publiques ou privées ne rapporte rien. Mais depuis hier, nous avons appris que cela allait changer. Pour en finir, la grosse déception est que l’on ne puisse pas utiliser les circuits du Track Maker en ligne. Cela aurait augmenté considérablement la durée de vie du jeu.

Un petit exemple de course en ligne assez serrée avec Kefran, Aurel et moi-même :

Conclusion
Faut-il évaluer un jeu en tenant compte ou non des promesses faites ou suggérées par ses développeurs ou faut-il simplement noter le produit fini ? C’est la question qu’on est obligé de se poser à l’heure de noter Gran Turismo 5.

Nous pensons qu’il faut regarder les choses de la façon suivante: Si ce jeu ne s’appelait pas Gran Turismo, n’était pas développé par Polyphony et qu’il était sorti cette semaine à la surprise générale, toute la presse et les sites spécialisés annonceraient qu’un jeu exceptionnel a fait son apparition et le noteraient 18/20…

… Mais voilà, Polyphony ne peut pas s’en tirer comme ça:
Quand on montre une version jouable d’un Gran Turismo HD sur PS3 à l’E3 2006, on promet de fait aux joueurs qu’ils auront le jeu chez eux dans les 2 ans qui suivent
Quand Kazunori dit en toute lettre dans des interviews que tous les circuits de GT4 seront dans le jeu, c’est ennuyeux qu’il en manque 50%
Quand il dit également que le jeu sortira quand il sera 100% prêt, on s’étonne qu’il sorte avec une gestion de la météo sur quelques circuits uniquement
On pourrait poursuivre la liste.

Donc au final, on ne peut qu’être au moins en partie d’accord avec les tests qui « allument » Gran Turismo 5 pour ses promesses non tenues et pour ne pas être le jeu de course ultime qu’on aurait voulu le voir être. Pour autant, passer à côté de Gran Turismo 5 serait une véritable erreur pour tout possesseur de PS3… N’est-ce pas ça finalement la définition d’un grand jeu ?

On a aimé :
1031 voitures
La modélisation des voitures premium
Les conditions de course avec la pluie, la neige et la nuit
Jouabilité très bonne à la manette et au volant
Les licences F1, Nascar, WRC
jusqu’à 16 joueurs en ligne
Un mode photo exeptionnel
Un générateur de circuit

On a pas aimé :
la modélisation des voitures standard
l’IA n’est pas parfaite
Il manque beaucoup de circuit des précédents Gran Turismo
Le jeu est pas fini et il faut attendre des patchs
A partir du niveau 25 en A-Spec, la progression est mal calibrée

Les avis de la Team Gentlemen Racers

Est-ce que des choses manquent dans ce Gran Turismo 5 ? Bien sûr que oui ! Au final, la réalisation me déçoit-elle au moins partiellement ? Oui également !

Et pourtant… Je ne sais pas si ça vient de moi ou du jeu mais je n’ai jamais autant apprécié de piloter des voitures virtuelles que dans ce Gran Turismo 5. Pour moi, les sensations volant en main sont le « juge de paix » pour évaluer un jeu de voitures. Et de ce point de vue, Gran Turismo 5 est au-dessus de mes attentes. Dans aucun autre titre, je ne comprends aussi bien les réactions des voitures. Dans aucun autre titre, je ne m’amuse autant à aller chercher la limite. C’est donc un grand oui, un immense oui à ce GT5.

Parmi les nouveautés que j’apprécie le plus, c’est bien sûr la météo dynamique qui l’emporte. Etant fan des courses longues, avoir un jeu qui allie usure des pneus, consommation d’essence et météo dynamique est pour moi fantastique. En toute logique, ce qui me manque le plus, c’est de ne pas pouvoir bénéficier de ceci sur tous les circuits du jeu.

Pour moi la première qui m’a choqué ce sont les 800 voitures dites « standard ». Leur différence de modélisation avec les voitures premium est tout simplement énorme et n’ont pas la sublime vont intérieure que bénéficient celles-ci. Mis à part cela, le reste du jeu reste visuellement bien au-dessus de la concurrence actuelle malgré quelques défauts concernant les ombres mais qui vont être corrigés dans un prochain patch.

Le plus important pour un jeu de course : Le gameplay. Etant pour le moment dépourvu de volant sur la Playstation 3 (mais ça va pas durer), je ne peux juger que la jouabilité à la manette et pour moi, celui est impeccable. Certes les joysticks ne sont pas aussi précis qu’un volant mais font l’affaire. Les sensations de conduite dans le jeu restent du Gran Turismo et c’est tout ce qu’on demande ! Et le meilleur dans tout ça, c’est la conduite du kart présent dans le jeu qui remporte la palme du fun !

Concernant le contenu du jeu, une fois de plus il n’y a rien à redire. 1031 voitures ! Qui propose autant de véhicule dans un jeu (à part sur Pc) ? Personne ! Pour les circuits, vous aurez autant le droit à du réel que des fictifs issus de l’imagination de Polyphony Digital et des précédents opus de la série. Malgré tout ça, il y a un petit bémol : L’absence de nombreux circuits des anciens opus comme New-York, Seoul ou encore Seattle pour ne citer qu’eux.

Gros point positif du jeu : Les conditions évolutives pendant les courses. Quelques-uns des circuits du jeu vous proposeront une météo évolutive, la tombée de la nuit et le levé du jour ou même les deux en simultanément. Attention, ce n’ai pas juste pour faire joli. Par exemple, lorsque vous commencez une course sous la pluie, celle-ci peut s’arrêter à tout moment et la piste reste détrempée. Elle s’assèchera au fur et à mesure du temps et à ce moment-là vous pourrez changer vos pneus  et en prendre des plus adéquates pour mieux adhérer à la piste. Pour le jour/nuit c’est plus simple : Le jour se lève ou se couche à la vitesse où vous le souhaitez.

Bref, pour résumer Gran Turismo 5 :
1031 Voitures
Des bons circuits avec un éditeur en plus
Des bonnes sensations de conduite
Du Kart, du Nascar, du Wrc, de la Formule 1, du drift, que demander de plus ?
Un mode online à 16 joueurs qui ne cesse de s’améliorer.
Les conditions évolutives pendant les courses.

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